Ces trois extraits, tirées du « Bêtisier de l’ICANN », sont des « petites » erreurs à 185 000$ qui ne feront pas forcément rire tout le monde !
La faute de frappe la plus chère du monde
Un employé de la société Kerry Trading Company a fait une faute de frappe en souhaitant enregistrer, auprès de l’ICANN, l’extension « .KerryLogistics » pour son employeur.
Un moment d’inattention et la société se retrouve avec l’extension « .KerryLogisitics », comportant une voyelle de trop !
Le doublon
La société VistaPrint a déposé deux fois l’extension « .WEBS ». De plus, la société Merck a, quant à elle, déposé trois fois son extension « .MERCK ». Ainsi, ces sociétés sont certaines que leur extension a fait l’objet d‘un dépôt, toutefois, cela augmente désagréablement le montant de la facture.
Heureusement pour elles, l’ICANN est susceptible de rembourser ces fautes d’inattention. (A toutes fins utiles, il convient de souligner que l’INPI n’est pas aussi généreux sur des erreurs commises sur un signe lors du dépôt d’une marque …)
La palme d’or
Le dépositaire de l’extension « .DOTAFRICA », remporte le bêtisier de l’ICANN.
En effet, le terme anglo-saxon « DOT » signifie « POINT » en français. Ainsi, la traduction de « .DOTAFRICA » se traduit par « point point africa ». Cela nous donne un aperçu de la faute ou de la blague (selon le point de vue) faite par l’heureux titulaire.